Le mensonge de trop.
Le régime Macron était au départ présenté comme du neuf à tous les étages. On peut dire désormais qu’il a perdu sa jeunesse comme on perd sa virginité. Sans espoir de retour.
En matière de mensonges d’Etat, c’est le trop plein : le 1ermai 2018 nous avions eu droit au voyou-chou chou présidentiel, Benalla ; le 1 er mai 2019, c’était au tour du caniche Castagnette dont on dit que ses mensonges de mercredi dernier suivis des déclarations serviles de Martin Hirsch confirment qu’il réussit à faire miauler un chien.
Je vous le fais bref. Ce régime décadent qui rivalise entre coups fourrés, carriérisme sans limite et ramollis du cerveau n’a pas seulement lâché ses loups. Avec la prétendue « attaque » de l’hôpital de la Salpêtrière, il a tenté une opération d’intoxication, relayée plein pot par les médias à la botte, vite dégonflée.
Radios et télévisions ont atteint les 1eret 2 mai des sommets d'indignité. Mensonges, relais de la propagande gouvernementale puis tentative de marche arrière honteuse mais toujours arrogante. Une mise à plat est nécessaire. Des fautes professionnelles graves ayant été commises, des sanctions s'imposent pour utilisation de fausses nouvelles en vue d'intoxiquer l'opinion.
Castagnette, semaine après semaine, sombre dans le ridicule. Dans ce registre, il n’est pas le seul. Laissons de côté l’insipide directrice de l’hôpital transformée en potiche ministérielle. Au hit-parade de la bouffonnerie et de la génuflexion, sans concurrent possible, l’impayable Martin Hirsch a crevé le mur du con avec son éternel sourire en forme d’appel criant au pourboire.
En matière de pourboires, il en connait un rayon. Il a tout fait M. Hirsch : Emaus, cabinets de ministres socialistes, membre du gouvernement de Sarkozy/Fillon, recasé au poste de directeur général de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris dont on dit que la fonction est tellement sucrée qu’on devient vite diabétique.
Sacré Hirsch, toujours prêt à passer la serpillère : Castagnette a évoqué une « attaque » contre l’hôpital, Hirsch a embrayé avec « On est passé au bord de la catastrophe».
Invitation à Castagnette, Hirsch et quelques autres : essuyez vos lèvres, il reste encore des mensonges dans vos bouches.
Spécialement pour Castaner, une chanson de Thomas Gaëtan. Savourons.