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25 février 2013 1 25 /02 /février /2013 13:56

 

Raul Castro a été réélu, pour un mandat de cinq ans non renouvelable, président du Conseil d’Etat par l’Assemblée nationale cubaine. La plupart des observateurs retiennent cette seule information. Pourtant, l’essentiel est dans le profond renouvellement des institutions cubaines.

Miguel Diaz-Canel (51 ans, ancien ministre de l’Enseignement supérieur) devient premier vice-président. Le Conseil d’Etat a été largement renouvelé avec 54% de nouveaux membres, 42% de femmes et 39% de noirs et de métis pour une moyenne d’âge de 57 ans. Esteban Lozo Hernandez remplace l’historique Ricardo Alarcon à la présidence de l’Assemblée nationale.

Les nouveaux responsables cubains, enfants de la révolution, affichent tous des formations universitaires de haut niveau. Ils sont ingénieurs, scientifiques, intellectuels formés à l’école cubaine. Du top dans leurs domaines respectifs.

Cuba se prépare tranquillement, sereinement aux changements. Les dirigeants historiques de la révolution vont progressivement laisser la place aux plus jeunes. Et peut-être plus vite que l’on croit, Raul Castro (81 ans) déclarant à des journalistes que l’on ne pouvait exclure son départ avant la fin de son mandat.

La nouvelle génération des dirigeants cubains arrive aux affaires. Elle a été soigneusement  préparée pour éviter, selon les «  anciens »  des transitions chaotiques. Ce sont avec ces hommes et ces femmes qu’il va falloir désormais compter.

José Fort 

 

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24 février 2013 7 24 /02 /février /2013 11:23

 

Le volcan espagnol

Un article de Jean Ortiz

 

"çà ne va pas péter...çà pète". Ainsi s'exprime mon amie Concha,

coquille de Séville...çà gronde...comme un "zapateado" flamenco...les

premières secousses d'un "terremoto" (tremblement de terre) social...

Le 23 février 1981, la jeune démocratie (restreinte) espagnole subissait

une tentative de coup d'Etat (le "Tejerazo") encore assez opaque.

32 ans plus tard, fort symboliquement, un 23 février 2013, des centaines

de milliers d'Espagnols ont envahi les rues de 80 villes espagnoles. Et

ce pour s'opposer à ce que les 300 organisations, associations,

citoyennes, sociales...organisatrices, appellent: "un coup d'Etat

financier". Bien vu!! La "gauche d'en bas" dit "basta!" avec une force

tempétueuse.

Un ras-de-tempête sans précédents. De Madrid, quatre colonnes immenses

se sont déployées et ont "pris" la ville....Au premier rang, Puerta del

Sol, Cayo Lara et une foule de militants et dirigeants de Izquierda

Unida, du PCE, des syndicats anarchistes, des "Indignés" d'hier et

d'aujourd'hui, beaucoup de jeunes (56% sont au chômage), de multiples

collectifs, les victimes des expulsions locatives des "hypothèques"

après l'explosion de la bulle spéculative immobilière, un arc-en ciel-

politique et social (les principaux dirigeants socialistes étaient aux

abonnés absents), des "camisetas" multicolores, en révolte, qui enfin

convergent:

le violet des associations féministes

le bleu des travailleurs "de l'eau"

le vert des enseignants,

le blanc des personnels de la santé

l'orange des employés des services sociaux, etc

et j'en oublie

et beaucoup, beaucoup de drapeaux républicains...Une jonction commence à

s'opérer entre le mouvement social et la revendication d'une République

sociale et fédérale...Attention, danger!

Les deux grandes centrales syndicales sont restées en retrait....mais

lorsque la marée monte, monte...Et elle n'exige pas seulement la

démission du gouvernement, la fin des "recortes", l'éradication de la

corruption, (qui n'épargne pas le roi et la famille royale...comme nous

l'écrivons depuis longtemps). La vérité est têtue...

 

Pour ces millions d'Espagnols, saignés à blanc, et qui refusent les

nouvelles saignées à venir, "la dette", "la réduction des déficits", ne

sont qu'un prétexte des capitalistes, des classes dominantes, et de la

droite, pour en finir avec "l'Etat social", les acquis des luttes, pour

casser les résistances, et empocher un maximum de "parné" ("blé"). Il

faut chantent-ils,"renverser l'omelette".

"Je me révolte donc nous sommes" disait Camus.  Le vieux monde européen

commencerait-il à trembler?...le capitalisme n'est pas amendable...les

Espagnols mettent de plus en plus en cause "le système", et la colère

vise les banques, les marchés, les politiques austéritaires, les

affameurs de peuples, la BCE, le FMI, et même la monarchie...

"Ecoutez!

Si on allume les étoiles

c'est qu'elles sont à quelqu'un nécessaires".  (Vladimir Maïakovski)

A quelqu'un?

 Aux peuples.

Jean Ortiz

 

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21 février 2013 4 21 /02 /février /2013 17:12

On a frisé l’apoplexie lundi dernier au département d’Etat nord-américain après la réélection  de Rafael Correa à la présidence de l’Equateur. Chavez, Morales, Ortega ainsi que les chefs d’Etat du Brésil, d’Argentine, du Salvador ne suffisant pas, voici Quito qui se distingue au lendemain de l’élection événement de Cuba à la présidence de la Communauté des Etats latino-américains et Caribéens (CELAC).

La CIA avait pourtant commencé avec succès  son opération   « nettoyage » dans la région en soutenant des coups d’Etat institutionnels au Honduras et au Paraguay, en plaçant un  « contrat » sur la tête du Bolivien Morales, en soutenant des éléments factieux de la police équatorienne, sans parler des  coups tordus à répétition contre Chavez et les dirigeants cubains.

Et pourtant. Le temps où les Etats-Unis décidaient de tout en Amérique du Sud en a pris un sérieux coup au grand dam de tout ce qu’il y a de plus réac chez le grand Sam et en Europe.

Avez-vous remarqué avec quel mépris la plupart des médias français «  couvrent » l’information latino-américaine ? Chavez, élu plusieurs fois avec des scores à faire pâlir de jalousie du côté des capitales européennes est traité comme un chien. Ses collègues présidentes et présidents du continent sont relégués aux oubliettes. Cuba reste toujours autant insulté en France par des  formatés de l’info, alors que la Grande Ile  se maintient en tête du hit parade populaire chez les latinos.

Il est grand temps que le président des Etats-Unis comprenne que l’Amérique du Sud bouge. L’organisation des Etats américains (OEA) à la botte de Washington ? Elle est devenue une coquille vide remplacée par des structures de coopération régionale indépendantes. Le blocus contre Cuba ? Une agression datant de plus de 50 ans condamnée par l’ONU. L’Amérique du Sud n’est plus l’arrière cour des Etats-Unis. Le vent de liberté, de justice sociale et de souveraineté qui balaye cette région du monde n’est pas prêt de s’arrêter.

José Fort

L’Humanité Cactus 21 février

 

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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 12:22

 

Natacha Polony, vous ne connaissez peut-être pas, mais elle mérite qu’on lui consacre quelques lignes surtout après sa sortie sur le PCF, samedi soir sur France 2, lors de l’émission de Ruquier. Pour elle et sur un ton méprisant, « le PCF est un parti de petit élus ». Cette ancienne secrétaire nationale du MDC de JP Chevènement, actuellement chroniqueuse au « Figaro » et sur Europe 1 en connait un rayon en matière d’élections. Elle a recueilli un foudroyant 2,24% lors des législatives de 2002 à Paris. L'ancienne universitaire, militante contre la mariage pour tous, m’a rappelé « Le sermon sur la chute de Rome » (Prix Goncourt 2013) lorsque Jérôme Ferrari écrit : « Il était absolument manifeste  que l’Université n’était pour lui qu’une étape nécessaire mais insignifiante sur un chemin qui devait le mener vers la consécration des plateaux de télévision où il avilirait publiquement, en compagnie de ses semblables, le nom de la philosophie, sous l’œil attendri de journalistes incultes et ravis, car le journalisme et le commerce tenaient maintenant lieu de pensée. »

Changez lui par elle et vous aurez une juste description de la personne en question.

 

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15 février 2013 5 15 /02 /février /2013 18:58

 

La Chine de la démesure n’en finit pas de nous surprendre. Quant aux parvenus chinois qui consacrent des sommes folles à des réalisations  frisant souvent le ridicule, ils nous étonnent. Grave. Les Chinois sont passés maîtres dans l’art de la copie mais l’époque des sacs Vuitton, des montres et même des œuvres du  célèbre musée de Madrid, le Prado, relève désormais du petit boulot.

Le temps des châteaux et jardins français reproduits à l’identique n’étonne plus personne comme la reconstitution de caves accueillant les grands crus bordelais. Depuis peu, les riches promoteurs chinois sont passés à une vitesse supérieure dans la course à la copie chère dans différents domaines techniques et aussi dans la reproduction d’une bourgade autrichienne au trottoir près, d’un village des Alpes suisses sous la neige ou encore d’un quartier bourgeois de Londres enveloppé dans le traditionnel brouillard britannique.

Les responsables de ces juteuses opérations assurent que l’objectif vise à faciliter la découverte des villages et des paysages du bout du monde. Ils oublient de préciser que le droit d’entrée s’élève à 20 euros, une somme considérable pour l’immense majorité des Chinois. Les quelques millions de nouveaux riches y trouveront, peut-être, du plaisir. Quant aux autres, un milliard et des broutilles, ils ont bien d’autres chats – où chiens - à  s’occuper.

Les parvenus chinois, sous la faucille et le marteau ou pas, continueront à dilapider des fortunes colossales. Ils ne pourront jamais en finir avec la véritable richesse de la Chine : sa culture fine, délicate, enracinée dans des siècles de réflexions, de douleurs, de méditation. Au fils des siècles, la Chine a donné à connaître ses intelligences, ses découvertes, sa créativité, ses sciences, ses arts multiples. La mondialisation du fric au service du mauvais goût va provoquer des dégâts dans l’Empire du milieu. Mais il n’a pas d’avenir. L’Art chinois, oui.

José Fort

L’Humanité Cactus 14 février

 

 

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7 février 2013 4 07 /02 /février /2013 10:30

 

Le mot « ancien » relevant, dans certaines circonstances, du politiquement correct (comme malentendant ou malvoyant au lieu de sourd et aveugle), un conseil aux vieux: jetez un œil ou plutôt les deux sur ce qui se passe dans notre monde du XXI eme siècle. Ca risque de nous arriver si nous restons les deux pieds dans nos charentaises avachies.

 

Les Allemands ? Ils sont de plus en plus nombreux à être parqués en Slovaquie dans des maisons de retraite low cost, les enfants ne pouvant plus régler les factures en fin de mois. La Grèce ?  Des retraités choisissent le suicide plutôt que la déchéance. L’Espagne ? La tradition méditerranéenne en prend un sérieux coup. Empruntant  le chemin inverse des Tanguy, des parents se réfugient désormais chez leurs enfants. Le Japon ? Des personnes d’âge avancé commettent des petits larcins pour s’assurer le chauffage et un peu de nourriture en prison. La Russie ? Les babouchkas russes vendent leurs dernières reliques dans les rues de Moscou par moins trente. La liste pourrait s’allonger avec des exemples piqués sur tous les continents. Sauf en Afrique et dans certains pays d’Amérique du Sud et d’Asie où l’extrême pauvreté renforce la solidarité familiale.

 

L’exemple du cynisme anti vieux vient de haut. Tenez, par exemple, le ministre japonais des Finances, le très droitier Taro Aso. Pour lui « les vieux devraient se dépêcher de mourir au lieu de coûter des fortunes en frais de santé au contribuable nippon ». Ce sinistre personnage, porté il est vrai sur la bouteille, a fait cette déclaration historique en sortant d’une soirée  bien arrosée sans provoquer la moindre protestation de ses pairs et de la presse locale. Quant au très sobre Alain Minc, versant dans l’odieux,  ne demandait-il pas il y a quelques années, s’il était bien nécessaire que la collectivité nationale française s’offre le luxe de soigner les plus vieux de ses membres ?

 

José Fort

L’Humanité Cactus, 7 février

 

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31 janvier 2013 4 31 /01 /janvier /2013 13:13

« El Pais », journal proche du parti socialiste espagnol, certains allant jusqu’à le qualifier d’organe central du PSOE, ne lésine sur aucun moyen pour distiller sa détestation du gouvernement en place au Venezuela. A l’instar de Zapatero, l’ancien président du gouvernement espagnol devenu conseiller de l’opposition vénézuélienne, le quotidien se déchaîne chaque jour où presque contre Chavez et les autorités de Caracas. Rien de très nouveau, sauf que la semaine dernière, « El Pais »  dans sa volonté d’enterrer avant l’heure le président élu du Venezuela, a publié à la « Une » une photo d’un homme moribond et intubé dans un lit d’hôpital présenté comme étant Chavez. Un faux rapidement détecté et suivi le lendemain d’une mise point d’ « El Pais » : un modèle d’hypocrisie et de manquement à l’éthique professionnelle méritant de figurer au programme des écoles de journalisme.

 

La direction du journal salue «  le grand effort logistique » déployé par ses services pour modifier sa  « Une », présente des excuses à ses lecteurs en leur affirmant que la rédaction était dans l’impossibilité de vérifier l’information et s’offusque que ces affreux chavistes osent condamner la publication de la photo et engager des poursuites judiciaires. Le gouvernement de Caracas attaque notre journal, s’indigne « El Pais » comme s’il fallait se taire lorsqu’on vous crache à la gueule.

 

« El Pais » ne présente aucune excuse au gouvernement et aux Vénézuéliens, encore moins au président Chavez. Rien d’étonnant, surtout lorsqu’on apprend que la photo publiée  a été fournie par l’agence Gtres Online, spécialisée dans le people, et servant parfois – faut bien gagner sa vie - de couverture à des professionnels en coups tordus et dont au moins l’un d’entre eux serait utilisé par la cellule « Venezuela » de la CIA. De là à affirmer que « El Pais » travaille pour une puissance étrangère, il y a un pas que nous avons du mal à ne pas franchir.  

 

José Fort

l'Humanité Cactus 31 janvier 

 

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24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 15:57

  

Il est temps que la France range le tapis rouge déroulé en l’honneur du Qatar. Alors que des jeunes français vont mourir sur le sol malien au nom de la lutte « antiterroriste », Paris entretient toujours des relations étroites et fort amicales avec ceux qui arment les obscurantistes-assassins.

A Doha se pressent toujours la jet set de la droite et du parti socialiste, des stars de la télé, des sportifs de haut niveau, des artistes, des vautours à la recherche de fric, tous bavant devant les torrents d’argent déversés par la dictature qatarie issue, faut-il le rappeler, d’un coup d’Etat familial.

En France, le Qatar achète des consciences, des palaces, des médias, une équipe de foot et s’intéresse de très près aux banlieues dites  « sensibles ».  Pratiquant comme une véritable 5e colonne, le Qatar s’incruste dans tous les secteurs économiques, politiques, sociaux, médiatiques de notre pays. Dans le même temps, il finance, conseille et arme les narco-fascistes qui sèment la terreur dans le Sahel. C’est ainsi, par exemple, qu’une piste d’atterrissage située près de Tombouctou a été utilisée par des appareils affrétés par le Qatar pour livrer du matériel militaire aux bandes dotées souvent d’armes sophistiquées françaises récupérées en Libye après l’aventure sarkozienne.

Paris va-t-il continuer à maintenir, à développer des relations complices avec les commanditaires des assassins ? En premier lieu, le Qatar bien entendu, mais aussi la monarchie d’Arabie Saoudite, experte depuis longtemps en matière de soutien aux pires forces terroristes. C’est pourtant avec elle que le ministre dit du redressement productif, Arnaud Montebourg, vient de déclarer vouloir créer un fonds d’investissement.

Les relations avec les monarchies qatarie et saoudienne doivent être radicalement modifiées. On ne peut coucher avec les complices des assassins que l’on prétend combattre.

José Fort 

 

L’Humanité Cactus 25 janvier

 

 

 

 

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 18:59

A chaque apparition télévisée de Frigide Barjot, l’excité du bocal à la recherche d’un nouveau souffle pour relancer sa minable carrière artistique, je ne peux m’empêcher de penser à l’ancien sénateur portoricain Roberto Arango. Leurs parcours présentent d’étonnantes similitudes. Barjot, on connaît, trop maintenant. Arango, beaucoup moins dans l’Hexagone.

Roberto Arango, militant de droite très lié à la hiérarchie catholique de Porto Rico, Etat dit « libre » associé aux Etats-Unis,  n’a jamais été un aigle, selon la presse locale. Il aimait se déguiser  en Roi mage pour tenter de gagner des voix dans les maisons de retraite et revêtir des parures affriolantes lors de soirées libertines. Au cours de sa dernière campagne électorale, il invitait ses électeurs à «  éviter les balles perdues » en pensant, dit-on, au mari jaloux d’une secrétaire qu’il avait coincée dans un bureau du Sénat oubliant les caméras espionnes. Bref, du banal. Sauf qu’il a été pris – comme Barjot -  d’une soudaine envie de changer de registre en se déclarant publiquement au Sénat portoricain et dans de nombreuses émissions de télé   « le militant le plus farouchement opposé au mariage homosexuel ». Bof, du déjà-vu.

Voilà qu’au beau milieu de sa campagne homophobe, Roberto Arango a été  mêlé à un nouveau scandale après la publication de plusieurs photos sur un site gay le montrant nu en position équivoque. Contraint à la démission, le brave Arango s’est reconverti dans les affaires et se déclare désormais « éloigné de l’Eglise et ses soutiens ». Rangé des voitures, Roberto affirme en avoir « assez soupé » de Porto Rico et prépare un voyage en Europe,  en France notamment. Il ne connaît pas Frigique Barjot, de son vrai nom Virginie Tenelle, née Merle proche de Karl Zéro et de Robert Ménard. On pourrait demander au premier d’organiser la rencontre historique Roberto-Frigique et au second de commenter l’évènement.

José Fort

L’Humanité Cactus, 17 janvier

 

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13 janvier 2013 7 13 /01 /janvier /2013 10:36

Il y a eu de nombreuses interventions militaires dictées par les intérêts impérialistes comme en Libye, en Cote d'Ivoire, en Irak etc...
Il y a eu des interventions militaires ( cubaine et vietnamienne) pour protéger les peuples angolais et khmers
Il y a eu des débarquements comme celui des alliés pour assurer aux côtés de la Résistance la libération de la France.
Il y a eu aussi la non-intervention laissant la République espagnole entre les mains des fascistes. Pensons-y avant de décider ce qui est bon ou mauvais pour les autres

 

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